Le team TdT !Le 26 juillet dernier, nous nous sommes retrouvés avec Yann et Aline à Aime, à l’occasion de la mythique course de la 6000D, dont Trace De Trail est partenaire. Un weekend très sympa en compagnie de nos conjoints ainsi que de Fred, un ami de Yann et Emilie son épouse.

Côté course, la 6000D était l’occasion pour Yann de parfaire sa préparation pour l’UTMB, avec en perspective « une longue rando/course sans trop se fatiguer » (dixit Yann); pour Aline l’occasion de venir défendre son titre 2013 (eh eh la pression ? pas vraiment. Pour mettre la pression à Aline, faut se lever de bonne heure !) ; et pour moi l’occasion… euh, ben d’essayer simplement de faire une bonne course 😉

Nous vous proposons ici un exercice périlleux, plus que celui de prendre le départ de la 6000D : réaliser un compte-rendu de la course à trois. Surement le 1er du nom ! Aller, c’est parti !

Départ  -> Plagne Centre (km18)

Réveil à 4h. Il pleut, ce n’est pas très engageant. Bon faut voir le bon côté des choses, au moins on n’aura pas trop chaud cette année ! On avale un bon p’tit déj’ (en béton pour Aline ;-), on règle les montres Suunto Ambit 2 et 2S, fraichement reçues de la part de notre nouveau partenaire, et hop, on descend à Aime pour prendre le départ de cette 25ème 6000D.

Echauffement des bras dès le p'tit-déj' pour Aline !

Echauffement des bras dès le p’tit-déj’ pour Aline !

Arrivé à Aime, on ne tarde pas à rentrer dans le sas de départ de peur d’être coincé à l’arrière. Mais l’avenue de départ est suffisamment large, nous pouvons finalement remonter sans trop de problème vers la tête de course. Le speaker nous apprend que le parcours est modifié et que nous ne montrons pas au Glacier. Ca met un coup au moral à Aline à qui le glacier avait porté chance en 2013. Ca ne semble pas perturber Yann prêt à faire sa p’tite ballade !

Le temps d’attendre les retardataires (le Team Isostar se fait remarquer!), puis le départ est donné à 6h. Nous sommes 1662 trailers à nous élancer. Et ça part vite, très vite !

3km de plat en fond de Vallon avant d’attaquer la montée vers la Plagne (km18) en passant par les hameaux de Longefoy (km7), Montalbert (km9), puis la piste de Bobsleigh (km15). S’en suit une montée raide sous les pistes de ski pour rejoindre Aime La Plagne puis la Plagne Centre, 1er ravitaillement (km18.5, 1500m+).

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Récits croisés de cette 1ère portion…

Yann : Je me fais un petit plaisir en courant quelques kilomètres autour des 15km/h au milieu de cadors du trail. Je sens que les jambes répondent bien en ce début de course ce qui présage une belle journée. Début de l’ascension, je dégaine les bâtons du sac et prends mon rythme de marche rapide. Un peu plus haut Martial Billet, avec qui je bagarre souvent sur les petites courses vers chez nous me rejoint et on fait un bout de chemin ensemble. On alterne marche dès que ça monte et trot sur les replats et les courts passages en descente. Je me sens assez bien et prends soin de bien m’alimenter, une barre Isostar High Energy toutes les 40 minutes et de l’eau régulièrement. Rapidement nous arrivons à l’entrée de la piste de bobsleigh. Les haut-parleurs crachant du Vivaldi donnent une dimension surréaliste à la course. Mais en haut de la piste, une foule nombreuse, une batucada endiablée et des pom-pom girls déchaînées me sortent de ma torpeur. J’en ai même des frissons ! Ça ne dure que quelques secondes et très vite je retrouve le calme des montagnes et les pentes affolantes des pistes de ski. Mon pote Fred est revenu sur moi et avec 2 ou 3 autres gars nous grimpons à la queuleuleu en échangeant quelques mots. Au sommet nous apercevons les immeubles de Plagne Centre sur lesquels nous plongeons pour rejoindre le premier ravitaillement.

_DSC1071bAline : Au top départ, tout le monde s’élance comme si c’était un semi-marathon ! J’essaie de suivre le groupe de filles à l’avant et prend comme repère Maud Gobert. Progressivement je les laisse s’éloigner car je sens que ce n’est pas la grande forme ! Dès les premiers kilomètres de montée je suis anormalement essoufflée et des filles me doublent encore et encore. J’alterne course et marche pour arriver à Longefoy puis à Montalbert. Les kilomètres se succèdent et je commence à sentir mes mollets qui se durcissent dans la côte raide qui passe sous le télésiège des coqs pour nous amener à Aime 2000. Je profite de la descente sur Plagne Centre pour assouplir et voir comment mes jambes réagissent. C’est plutôt mieux qu’à la montée donc j’essaie de positiver : la fin sera plus facile que le début !

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Cécile: Ça part très vite ! Ma Suunto Ambit 2S m’affiche 14,5km/h sur les 3 premiers km. Les sensations sont bonnes et je maintiens le rythme avec l’envie de ne pas trop me faire distancer dès le départ pour rester dans la course. Je passe à Longefoy en compagnie de Anne Valero que je vais lacher ensuite à Montalbert. Les premières montées m’indiquent que les voyants sont au vert, les jambes répondent présentes. Passage dans la piste de Bobsleigh sur fond de musique de Vivaldi. Serait-ce le printemps ? à moins que ça ne soit l’hiver vu le temps 😉 ? 1,5km qui se terminent par une batucada mémorable. Je serais (presque) redescendue pour refaire un tour tellement que c’était sympa !! La montée qui suit jusqu’à La Plagne est très raide. Je marche en mode économie. J’arrive au ravito avec de bonnes sensations, juste derrière Christine Denis-Billet et Agnès Hervé.

Passage à Plagne Centre : Yann 30ème (2h04), Aline 157/9ème (2h28), Cécile 101/6ème (2h17)

Plagne Centre (km18) -> Col de la Chiaupe (km18 -> km28)

S’en suit 2,5km de piste en montée progressive, à travers les pistes et alpages de La Plagne, pour monter jusqu’au Plan de Leychoum. Peu de temps après, on quitte la piste pour emprunter un sentier qui mène jusqu’au Lac des Blanchets (alt. 2440m) puis enfin à Roche de Mio (alt. 2680m), point haut du parcours de cette 25ème édition amputée du glacier. Le 2ème ravitaillement du parcours nous attend deux kilomètres plus loin, au col de la Chiaupe.

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Récits croisés de cette 2ème portion…

yann roche mioYann: A la sortie du ravitaillement, je suis aux côtés du local Joël Pellicier et de Régis Gibert dont je fais la connaissance durant l’épreuve. Par contre mon Fredo est un peu plus loin et semble marquer un peu le coup. Les sensations sont toujours assez bonnes et je prends beaucoup de plaisir sur ce parcours finalement assez varié. Pistes roulantes, montées plus raides dans les alpages, je me régale sur ce parcours pas trop technique à ma convenance. Je dois même parfois me freiner, notamment sur la piste menant à la Roche de Mio où j’alterne marche et trot. Nous sommes dans le brouillard mais je ne loupe pas Murielle qui me tend le ravito. Dans la descente, je suis à 15km/h, vitesse de croisière qui me permet de ne pas trop taper dedans mais de bien avancer quand même. Très vite je parviens au ravitaillement du col de la Chiaupe. Je ne m’y arrête pas.

Passage d'Aline à Roche de Mio

Aline: En ravitaillant auprès de mon dévoué assistant 😉 , je m’aperçois que je n’ai rien mangé et pas beaucoup bu. Va falloir se reprendre un peu si je veux finir ! Je repars un peu plus en forme et je double 2 filles dans la foulée dont Anne Valéro qui est partie trop vite comme en 2013. Dans la montée embrumée de la Roche de Mio, les premiers du Trail des 2 Lacs me doublent. J’ai droit aux encouragements des coureurs du Team Isostar et ça me booste. Mais les premières crampes aux mollets arrivent à la traversée d’un petit ruisseau après le Lac des Blanchets. J’arrive à les gérer en marchant mais ça fait ch…r! La descente au col de la Chiaupe améliore la situation même si Serge R. (3 V2 sur le 22 km) en profite pour me rattraper à ce moment-là !

_DSC1074Cécile : Je rejoins Jean-Phi sur les hauteurs de la Plagne, au moment où je passe devant Agnès et on fait un bout de chemin ensemble. Ca me fait plaisir de courir avec mon chéri, c’est si rare ! J’alterne course et marche dans cette montée jusqu’à Roche de Mio. Les sensations sont très bonnes et je me fais vraiment plaisir. Je sens que les séances de côte depuis cet hiver et l’enchainement de trails avec du D+ payent. Je suis sur un bon rythme, pas trop rapide, pas trop lent. Arrivé à Roche de Mio, de nouveau une ambiance très sympa. Pas d’assistance pour moi, direction le ravito un peu plus bas au col de la Chiaupe pour recharger le bidon. Dans cette descente, j’ai les mains gelées, je me sers de mes manchettes pour me faire des gants de fortune. Deux avions me passent, juste le temps d’entendre « aller Cécile » et d’apercevoir le maillot jaune Isostar d’Augustin, qui est en tête du trail des 2 lacs. Bien contente de le voir en tête ! Arrivé au Col de la Chiaupe, petite pause ravito puis je repars sans trainer.

Passage à Roche de Mio : Yann 28ème (3h02), Aline 131/7ème (3h33), Cécile 76/3ème (3h19)

Col de la Chiaupe (km28) -> La Plagne Bellecôte (km 44)

Pendant 7km, le parcours est tout en descente, d’abord plutôt technique sur des pierres saillantes et glissantes, puis plus roulant. Arrivé au Dérochoir, on bifurque sur une rallonge de parcours de dernière minute, qui nous mène au fond du Vallon de xxx avant de remonter sur l’Arpette en passant par Plan Bois.

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Récits croisés de cette 3ème portion…

_DSC1102Yann: Je ne descends pas très vite mais bien relâché. J’attaque la montée sur l’Arpette en marchant et Marc Maroud me revient dessus. Je lui emboîte le pas en courant, assez facilement d’ailleurs. Quel pied! Je reprends la marche active un peu plus haut alors que nous laissons la route pour attaquer la longue montée vers le col de l’Arpette. Je rattrape un concurrent. On traverse un pierrier, ça continue de grimper un peu mais cette fois à découvert et le sommet de l’Arpette est en vu au loin. Beaume revient sur moi et c’est ensemble que nous franchissons le sommet. La descente n’est pas très difficile et je peux dérouler aisément. Je parviens au ravito, Murielle a tout préparé, une bouteille de St Yorre et un gel Isostar Actifood pour la fin de course. Je m’élance l’assaut des 18 derniers kilomètres en me disant que ça serait bien d’aller chercher le top 20!

_DSC1131Aline: Descente sur le Dérochoir, partie la plus technique de cette 6000 D version 2014. C’est celle que je préfère. J’ai de bonnes sensations et double pas mal de monde dans cette partie mais patatras, arrivée au bas sur la partie très roulante je prends une crampe dans chaque mollet et impossible de courir pendant 500m. Je fais le point : soit j’abandonne au prochain ravito soit je continue en marchant, je m’alimente, je bois et je gère en faisant définitivement une croix sur une quelconque place. Je pense à tout ceux qui sont derrière moi et qui après tout seraient content d’être dans ma situation. J’opte pour la deuxième option. Bonant malant je continue mon chemin en profitant du paysage. D’ailleurs, la montée sur le col de l’Arpette est vraiment sympa et le fait de discuter un peu avec les autres coureurs me redonne un peu le moral. J’essaie de tout lâcher pour rejoindre Belle Plagne puis Plagne Bellecôte mais c’est sûr que je ne vais pas aussi vite que l’année dernière où j’avais l’impression de voler sur les pierres !

_DSC1119Cécile: Dans la descente du col de la Chiaupe, je me tords la cheville, ça me stoppe net dans mon élan. Malgré la douleur, je me force à marcher. Au bout de quelques minutes ça fini par passer et je reparts. Un peu plus bas, passage à guet. Pas moyen de passer autrement qu’en mettant les pieds dans l’eau. Eh eh, vive les speedcross en Gore-Tex ! J’étais super contente de mes baskettes jusque là, avec les pieds bien au sec, mais là je vois tout de suite la limite du truc : je fais flop flop flop pendant les 3 bornes qui suivent, le Gore-tex empêchant l’eau de sortir. Bref, les tuiles s’accumulent ! Dans la montée de l’Arpette, je prends un coup de moins bien. Je ne m’inquiète pas et j’essaye de bien m’alimenter pour vite me requinquer. Arrivé au pied du col de l’Arpette, Christine revient à ma hauteur. Ca ne me surprend pas vraiment, entre l’épisode cheville et le coup de moins bien, c’est logique. On discute un peu et je la laisse filer. Mais à ce moment, la 2ème est juste devant. Nous sommes toutes les 3 à nous tenir. Je me dis que rien n’est joué, il y a encore moyen de jouer le podium. Dans la descente, je me refais et j’arrive de nouveau bien au ravito de Plagne Bellecôte.

Passage à Plagne Bellecôte : Yann 21ème (5h05), Aline 92/6ème (5h45), Cécile 73/4ème (5h36)

 

La Plagne Bellecôte (km44) -> Arrivée (km64)

Reste 20km principalement de descente, agrémentés de petites bosses histoire de casser une potentielle monotonie de fin de course ! Alternance de pistes et de petits single en forêt, très ludiques ! Passage par le village de Montchavin avec, comme depuis le début de la course dans tous les villages traversés, une super ambiance (speaker, supporters, etc) ! Arrivé en fond de vallon, reste 3km de piste cyclable le long de l’Isère avant de retrouver le village d’Aime et passer la ligne d’arrivée !

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Récits croisés de cette 4ème portion…

Après MontChavin

Yann: Je fais à nouveau un petit arrêt au stand et repars en compagnie de Régis Gibert. Les kilomètres passent vite en discutant et le soleil qui perce les nuages nous annonce une belle fin de course. Je prends un gel Isostar Actifood fruits exotiques en prévision des derniers kilomètres et pour prévenir un éventuel coup de barre. Mais depuis presque 6h je n’ai ingurgité que des barres (Long Distance Energy, High Energy et barres salées maison cajou/cacahuète, des morceaux de bananes et de la pâte de datte) et je n’ai pas senti de saturation au niveau du sucré et pas de baisse de régime. Un mec (Jean Luc Bignon) revient sur nous alors que nous approchons du dernier ravitaillement de Montchavin. Par contre mes 2 compagnons n’ont pas trop envie de s’arrêter et le temps de remplir ma flasque d’eau je suis un peu distancé.

Arrivée de Yann

Heureusement je reviens sans trop de problème sur eux et prends les devants. Un chemin en faux plat montant me permet de les distancer. Je suis vraiment content de mon état de forme après bientôt 60km de course. Les jambes sont encore solides malgré les 3000m négatifs du jour. Après une ultime descente je rejoins la piste cyclable longeant l’Isère, je suis à 14km/h. Hélas, personne à l’horizon et le top 20 ne sera pas pour cette fois. Dernière petite côte et je retrouve le centre d’Aime. Je franchis l’arche d’arrivée en 6h46’27 » de course, à 40 secondes du 20ème.

 

 

 

_DSC1144Aline: Je ravitaille rapidement et repars décidée à finir du mieux que je peux pour essayer de mettre un temps proche de l’année dernière (même s’il est difficile de comparer comme il y a eu changement de parcours). Je suis étonnée et ennuyée quand je rattrape Cécile quelques kilomètres après Bellecôte. Je la pensais en train de grappiller une place sur le podium. Fichus intestins ! Les kilomètres défilent et j’arrive à Montchavin où les encouragements pleuvent. Les habitants et les touristes jouent vraiment le jeu et c’est rare de voir autant de supporters sur un trail ! Le village d’Aime se profile mais on fait le tour par le centre cette année au lieu de finir tout droit, quelle idée ???

_DSC1153Cécile : je repars rapidement du ravito, avec la sensation d’avoir fait le gros du travail. Reste la longue descente sur Aime et une place sur le podium peut être encore jouable. Mais rapidement, je déchante, je prends mal au ventre, je dois marcher. J’essaye d’avancer mais ce n’est plus possible, une pause s’impose ! Agnès me passe peu de temps après, m’encourage pour que je reparte avec elle, mais impossible… Le moral se met en berne 🙁 Pause technique puis je repars mais je chope un point de côté. Impossible de m’en défaire. J’essaye de courir mais c’est un vrai calvaire. Maintenant, j’ai franchement le moral dans les chaussettes. Aline me passe. Et je ne peux que la regarder passer. 4 bornes de galère. Au ravito des Tuiles, j’envisage d’abandonner. Pour moi, la course est finie, le plaisir n’est plus là, autant arrêter. Les secouristes et bénévoles me forcent gentiment à reporter ma décision à plus loin. Malin ! Je repars toujours avec ce foutu point de côté. Arrivé à Monchavin, ce n’est toujours pas top. Reste plus que 10 bornes, pour le coup, autant aller au bout maintenant, même si dans ma tête la course est fini depuis quelques km. Arrivé à Aime, Christian Dilmi du team Isostar me rattrape, on plaisante, on termine ensemble. De quoi passer quand même cette ligne d’arrivée avec le sourire 😉

Arrivée: Yann 21ème (6h46), Aline 85/5ème (7h35), Cécile 110/6ème (7h50)

Les montres Suunto Ambit 2 de Yann et Jean-Phi (alti baro, prise de point toutes les secondes) nous donneront pour ce parcours de replis une distance de 64km et un dénivelé positif de 3100m.

Lien vers le parcours de repli de cette 6000D 2014, sur la page dédiée réalisée par Trace De Trail : http://la6000d.tracedetrail.fr/parcours/trace/3809

Le mot de la fin…

Yann : Dommage pour le top 20 mais l’essentiel n’est pas là. J’ai pris beaucoup de plaisir sur cette belle épreuve et suis vraiment content de retrouver de bonnes sensations à 5 semaines de l’UTMB.

Aline : Déçue de ma performance et de mon état de forme physique après des mois de préparation. Mais contente de l’ambiance de cette course et d’avoir finit malgré tout. Reste plus qu’à revenir en forme cette fois l’année prochaine !

Cécile : Une course faite de plaisir, de frustrations et de déception mais dont je retire au final du positif, avec de très bonnes sensations en montée qui me font dire que la préparation a été bonne. Côté marges de progression, j’ai sans doute beaucoup à gagner en travaillant ma technique de descente (pour être plus relachée) et surtout en trouvant l’origine de mes soucis gastriques.

Au complet !

Au complet !

Au final, nous avons passé un très bon weekend sur Aime. Pouvoir se retrouver entre membres du team est toujours très sympa. Des moments d’échange et de complicité très agréables. Bravo à Fred et Jean-Phi pour leur très belle course (terminant respectivement à la 44ème et 66ème place). Et merci à Olivier, Muriel et Emilie, pour les encouragements et le reportage photo 😉

Petit clin d’oeil à nos amis du Team Isostar qui ont brillé sur le trail des 2 lacs, avec une 2ème place pour Augustin Guibert et une première place pour Elisa Bollongeon. Bravo !

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Enfin, un grand bravo aux organisateurs et aux habitants de Aime et de la Plagne qui ont su réunir tous les ingrédients pour faire de cette course une grande fête du trail. Une course mythique, qui tient ses promesses !

Pour visualiser le parcours de la 6000D 2014 et le parcours de replis, rendez-vous sur la page dédiée : http://la6000d.tracedetrail.fr